Les arti­cles sur Kedis­tan se font plus rares, vous l’avez sans doute remar­qué. Nous en déclinerons les caus­es et les raisons prochaine­ment. Mais, comme nous dis­ait un ami cher, “ce n’est pas parce que Kedis­tan ne pub­lie pas que le monde s’ar­rête de tourn­er”. Et puis, il y a une archive de 4000 arti­cles disponibles.

Et pour­tant, lec­tri­ces et lecteurs fidèles, vous êtes tou­jours au ren­dez-vous à chaque nou­velle pub­li­ca­tion et, nou­veauté 2021/22, davan­tage dans leurs tra­duc­tions anglaise que dans l’o­rig­i­nal fran­coph­o­ne. Eh oui, Kedis­tan est main­tenant davan­tage lu à l’in­ter­na­tion­al qu’en France, et plus encore si on englobe les arti­cles en langue turque. Une moyenne encore d’un mil­li­er de lec­tri­ces et lecteurs par jour. Même si c’est une “niche”, à l’échelle de la presse main­stream, cela con­tin­ue à nous encourager.

Cela explique sans doute que notre sou­tien “financier” jusqu’i­ci fran­coph­o­ne, se soit réduit à un cer­cle d’habitués. Cet arti­cle ne leur est donc surtout pas des­tiné. Et nous ne les remercierons jamais assez de leur fidél­ité et aide.

Kedis­tan ne touche aucune sub­ven­tion ou aide à la presse, ni n’est financé par un spon­sor ou de la pub­lic­ité. Tout le monde est bénév­ole et la lec­ture des arti­cles restera tou­jours libre et gratuite.

Nous avons restreint tous les frais au min­i­mum et n’avons plus que des dépens­es con­traintes liées à l’héberge­ment du site, un min­i­mum de charges, de coti­sa­tions, et de quelques abon­nements. Nous assurons la mise en ligne et la main­te­nance du site nous-mêmes, bénév­ole­ment désor­mais. C’est donc la fin de l’abondance.

Alors, et nous le rap­pelons, cet appel ne s’adresse pas aux habitué.es de la sol­i­dar­ité, quelques euros son­nants et trébuchants ne seraient pas de refus pour entamer bien­tôt la 9e année d’ex­is­tence de Kedis­tan.

Les mains généreuses cli­queront par ici

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Le petit mag­a­zine qui ne se laisse pas caress­er dans le sens du poil.