Quelques mots sur un fes­ti­val de ciné­ma kurde qui se tien­dra à Paris du 21 au 27 octo­bre, et un ren­voi sur le site offi­ciel qui décline le programme.

« Pour les Kur­des, la vie est une route, une manière de vivre sur cette route, le long de laque­lle ils chem­i­nent en per­ma­nence. Ils ne s’installent jamais nulle part, n’ont pas d’adresse » a déclaré le cinéaste Kurde d’Iran Bah­manG­hoba­di. A cause des guer­res, des per­sé­cu­tions, les kur­des sont en per­pétuel mouvement.

« C’est un peu­ple tou­jours en train de bouger — c’est quelque chose qu’ils ont en com­mun avec le ciné­ma, qui est l’art du mou­ve­ment » Ain­si seront pro­jetés lors du fes­ti­val des films provenant des qua­tre pays où rési­dent la majeure par­tie des kur­des : Turquie, Syrie, Iran, Irak, mais égale­ment de pays européens comme l’Allemagne ou la France.

Kedis­tan ne peut donc que vous engager, vous parisiens où voyageuses et voyageurs de pas­sage, à entr­er dans une salle obscure et déguster un film, au hasard de vos envies.

Nous qui sommes dis­per­sés un peu partout, nous nous con­tenterons de vos appré­ci­a­tions que nous vous enga­geons à nous faire par­venir à l’adresse correspondants@kedistan.fr. Et, vous pou­vez les lire dans notre rubrique “En direct du fes­ti­val

Nous en fer­ons un bil­let ou plusieurs, selon vos pro­duc­tions. Soyez sur ce fes­ti­val nos yeux et nos oreilles, nos pho­tographes et nos inter­view­ers. Promis, l’an prochain on sera sur place.

Vous pou­vez télécharg­er le pro­gramme com­plet > ici 

festival_cinema_kurde_kedistan

Le site du fes­ti­val > ici

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Daniel Fleury
REDACTION | Auteur
Let­tres mod­ernes à l’Université de Tours. Gros mots poli­tiques… Coups d’oeil politiques…