C’est sous un soleil timide de novem­bre que le dernier numéro du CQFD est tombé dans la boîte aux let­tres, cri­ant sur sa Une “Urban­istes, de l’air !”

Même si les chats ont depuis longtemps jeté l’an­cre à la cam­pagne, ils sont par­faite­ment con­scients des enjeux de l’ur­ban­isme, et l’ob­ser­vent d’un œil atten­tif et cri­tique dans tous ses Etats. Ils feu­lent au nez des pro­jets inutiles et néfastes ici, et là, sor­tent les griffes devant les pro­jets d’un 2023 rêvé par un cer­tain Reis en Turquie.

Ils sont comme ça les chats, pas com­modes avec les vilains. Y com­pris avec ceux de l’édi­to “La ville et les vilains”.

Les chats ont donc com­mencé à feuil­leter les bonnes feuilles de novem­bre, oreilles dressées, yeux perçants, poils hir­sutes. Et là, ils sont tombés en plein milieu de la place Taksim.

Tak­sim, place de l’oubli” a titré Éti­enne Copeaux pour CQFD…

Et CQFD le présente ainsi :

Enjeux idéologiques et géo­graphiques à Istan­bul – Tak­sim, place de l’oubli > Autre­fois car­refour des minorités ortho­doxe et arméni­enne, puis lieu de con­tes­ta­tion en 2013, la place Tak­sim voit désor­mais sa mémoire recou­verte d’une dalle en béton. En balade à Istan­bul, l’historien Éti­enne Copeaux revient sur le proces­sus de turqui­sa­tion d’un lieu qui sem­ble avoir cessé de résister.

Bien sûr, il n’y a pas que Tak­sim dans la vie. Ce numéro de voy­age urbain décollerait le chat le plus peinard de son coussin. Allez, c’est par­ti pour un tour, de Toulouse à Mar­seille, de Lille à Bure, jusqu’à Athènes. Un dossier spé­cial “Squat tou­jours !” et plein d’autres lec­tures vous atten­dent.  Soyez donc curieux, allez fureter le som­maire.

Vous trou­verez le n°170 dans votre kiosque préféré, ou encore mieux, abonnez-vous…
Cela se passe ici.

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