Rêver de la Turquie qu’on aime, d’une Istanbul dont ne peut plus arpenter les rues et recoins peuplés de kedi, c’est toujours possible grâce à ce film de 2016.
Qui sait si les réalisateurs auraient encore envie de tourner ces images, quatre années plus tard ? Qui sait même s’ils voudraient encore conter ce monde idéal des chats, juste pour faire oublier le réel, déjà pourtant bien amoché en 2016 ?
Ne boudons pourtant pas ce plaisir, comme quand on entendait murmurer : “je vais vous raconter une histoire…” et qu’on se laissait bercer par des mots, tandis qu’on nous montrait les belles images… Kedi n’est pas coutume. Merci Arte.