Une souscription pour Kedistan, alors que nous vous annoncions au début de ce mois que le site publierait désormais moins d’articles à chaud mais qu’il s’ouvrirait en même temps sur des sujets transnationaux hors Moyen-Orient, (une respiration)… Est-ce logique?
Si les kedi ont le culot de relancer une nouvelle année de souscription pendant qu’ils annoncent des siestes rallongées, cela peut sembler contradictoire non ?
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Quelques rappels :
Moins publier ou le faire autrement ne signifie pas que nous ne continuions pas à faire héberger en sécurité nos données (3000 articles en consultation gratuite et illimitée) et à entretenir le site. Le coût reste donc le même.
En face, la participation bénévole des auteurEs ne demande toujours pas de rétribution financière et continue à diminuer les coûts du site, qui restera toujours sans publicité.
En serrant les liens du bol de croquettes nous parviendrons sans doute à restreindre le budget prévisionnel mensuel à 300 euros. Qui dit mieux ?
Nous appelons donc nos lecteurs et lectrices à contribuer à la durabilité du magazine Kedistan en nous versant de temps à autre leur obole à hauteur de 4000 euros recherché au total pour les 12 mois à venir.
CertainEs d’entre vous le font toujours régulièrement et nous les en remercions encore chaleureusement.
Alors, à vous de jouer si vous pensez toujours que l’aventure Kedistan doit perdurer.
Ah, un petit mot encore…
Il y a sur le site un lien d’abonnement. Celui-ci est totalement gratuit et ne vous engage qu’à recevoir notre lettre d’information qui deviendra hebdomadaire. Elle nous occasionne quelques frais aussi pour son envoi “hors spam”, mais c’est aussi un gain de communication. Aucune de vos données n’est utilisée pour autant. Alors, abonnez-vous ! Un mail par semaine… Et même si le Facebook nous ostracise, et que les réseaux sociaux nous donnent souvent l’envie de se gratter, abonnez-vous aussi à nos comptes, et faites-les connaître, merci.
Maintenant, libre à toutes et à tous de penser que comme dans l’histoire du Chat botté, les kedi mèneraient vie de château à la fin et que nous aurions “oublié” de déclarer nos résidences félines…