Les kedi sont heureux d’appartenir à un syndicat de journalistes qui n’incite pas la profession à faire profil bas devant l’incarcération en Turquie de Loup Bureau, ce qui reviendrait à imiter le Président dans sa diplomatie des “affaires”.
Adopter un profil bas devant un dictateur, c’est condamner toutes celles et tous ceux qui le combattent à la solitude des prisons, et envoyer un message d’auto-censure vers celles et ceux qui documentent, commentent, et dont c’est le métier.
Loup Bureau était debout, on doit le défendre debout.
Oui, le Président français ne peut partir en vacances la conscience tranquille, ou alors, pour être logique jusqu’au bout, qu’il les prenne à Bodrum pour éclairer sa lanterne.
Vous trouverez ci-dessous la lettre que vient d’adresser le SNJ-CGT au Président Macron. Partagez-là, faites la connaître…