C’est plutôt une bonne nou­velle, grâce aux souscripteurs/trices, l’ac­tiv­ité de Kedis­tan et sa totale gra­tu­ité peu­vent se poursuivre.

Les pre­miers résul­tats de la  souscrip­tion en cours, ouverte en sep­tem­bre, per­me­t­tent déjà de cou­vrir les frais de fonc­tion­nement jusqu’en févri­er et de rem­bours­er des “dettes” accu­mulées avant cette date, même si vous n’avez été que quelques unEs jusqu’i­ci à par­ticiper sur les dizaines de mil­liers que vous êtes. Si cette souscrip­tion se pour­suit ain­si mois par mois, la sécuri­sa­tion du site, sa gra­tu­ité pour tous les arti­cles, les déplace­ments d’au­teurEs aujour­d’hui sol­lic­itéEs et les frais jour­naliers de fonc­tion­nement seront cou­verts grâce à vous qui nous soutenez. Et nous le redis­ons, même un seul euro finit par faire une rivière…

Le site qui héberge notre souscrip­tion fonc­tionne sans com­mis­sions (pour­boire fac­ul­tatif au gré de votre générosité) et per­met de garder l’anony­mat si vous le souhaitez. Il per­me­t­tra aus­si bien­tôt les “aides” men­su­al­isées… Il reste égale­ment la solu­tion des vire­ments directs sur le compte de l’as­so­ci­a­tion de finance­ment “les Amis du Kedis­tan”. Bref, plein de façons de soutenir le mag­a­zine, si vous pensez vrai­ment qu’il mérite d’exister.

Grâce à vous qui nous soutenez, nous lisez, nous dif­fusez sur les réseaux soci­aux, la moyenne des lecteurs/trices, s’est sta­bil­isée autour des 80 000 men­su­elle­ment. Un bon début.

Cela se répar­tit entre des lecteurs de l’hexa­gone français (65 %), et les lectrices/teurs fran­coph­o­nes ou non dans le monde entier.

Nous en prof­i­tons pour rap­pel­er quelques infor­ma­tions à toutes et à tous.

Il y a autour du mag­a­zine un réseau, en plus de l’équipe réduite qui assure le quo­ti­di­en. Per­son­ne n’est rémunéré, ni même ne demande à béné­fici­er d’une “recon­nais­sance égo­tique”. L’en­gage­ment de toutes et tous est mil­i­tant, autour des idées d’indépen­dance édi­to­ri­ale, de par­tis pris assumés, mais de lutte col­lec­tive. Il y a autour du site un tra­vail d’au­teurEs, de chercheurEs, de traducteurs/trices, de graphistes… Et de dif­fu­sion sur les réseaux sociaux.

Le site Kedis­tan tente d’u­tilis­er au max­i­mum l’outil numérique pour une infor­ma­tion alter­na­tive. Les médias main­stream, après deux ans d’ex­is­tence de Kedis­tan, jouent petit à petit le “jeu” et recon­nais­sent le tra­vail effec­tué en citant la source et faisant les ren­vois d’usage vers le site, lorsqu’ils nous parta­gent. C’est vous, lecteurs et lec­tri­ces, qui en fréquen­tant le site, lui don­nent une “vis­i­bil­ité” et le font recon­naître comme “source” d’analy­ses et d’in­fos alter­na­tives. Ce sont les amiEs, les sites web qui nous relaient…

Et nous savons pour­tant que leⒶ de Kédis­tan, reste un frein, voire nous a fait “ban­nir” de 5 ou 6 pages ou groupes sur les réseaux soci­aux où nous étions aupar­a­vant partagés, (eh oui, ça vous étonne ???) comme s’il annonçait une con­ta­gion pos­si­ble. Mes­sage à ceux/­celles-là : le Ⓐ restera bien en évidence…

Nous con­tin­uerons, au delà du site lui-même, de ses relais sur les réseaux, à défendre la néces­sité absolue et impéra­tive, face au rouleau com­presseur des répres­sions en cours, des fer­me­tures de médias, d’in­ter­dic­tions de man­i­fes­ta­tions cul­turelles, et de la dés­in­for­ma­tion plus que jamais à l’oeu­vre, à priv­ilégi­er le rassem­ble­ment de toutes les bonnes volon­tés autour des néces­sités imposées. Peu nous importe les “divi­sions” asso­cia­tives ou par­tidaires, voire les “égos égarés”, ou les prés car­rés. La sit­u­a­tion en Europe ne se prête guère à ces “lux­es” là, dans la mobil­i­sa­tion pour le Moyen-Orient.

Pour­tant, nous devons rap­pel­er quelques fonc­tion­nements pour soutenir la presse alter­na­tive en général, et Kedis­tan en l’oc­curence ici. Les arti­cles, bil­lets, sur Kedis­tan sont des­tinés à être partagés. Et nous le voudri­ons le plus pos­si­ble. Ils sont signés Kedis­tan ou du nom de leurs auteurEs, régulierEs ou invitéEs. Il con­ti­en­nent des liens inter­ac­t­ifs, qui les com­plè­tent, four­nissent d’autres pistes etc… Des images, des vidéos, lorsqu’elles fig­urent font par­tie des arti­cles. Chaque arti­cle est en cohérence avec le site. Aucun bil­let ne se résume à son titre, un copié col­lé et à une image bâclée sucée sur google, vous l’au­rez remar­qué… Alors de grâce, ne détru­isez pas ce tra­vail (bénév­ole) en le caviar­dant par copiés-col­lés par­tiels, sans ren­voi vers la total­ité de la pub­li­ca­tion orig­i­nale, en partages tron­qués par ailleurs, sur du factuel dont l’analyse a alors “dis­paru”. Vous favorisez ain­si le lecteur/zappeur et l’ap­prox­i­ma­tion, la stricte info brute sou­vent émo­tion­nelle, au détri­ment des con­tenus écrits et enrichis pour inciter à appro­fondir, réfléchir, mobilis­er et ouvrir à la dis­cus­sion. Tout le con­traire du but recher­ché. Lais­sons l’ef­fet Paris Match à ses ini­ti­a­teurs, il est déjà bien trop présent sur les réseaux sociaux.

Nous présen­tons, en page d’ac­cueil, bien d’autres sites “amis” qui tra­vail­lent dans le même sens.

Vous pou­vez donc aider par toutes sortes de moyens, même si vous ne par­ticipez pas à la souscrip­tion, à con­stituer un réseau de dif­fu­sion com­plé­men­taire, autour de Kedis­tan, et des sites qui se rejoignent dans ce besoin de dénouer les com­préhen­sions autour du Moyen-Ori­ent. Et ain­si ensem­ble, nous ne nous serons pas seule­ment des “crieurs” de mau­vais­es nouvelles.

Encore mer­ci à toutes et à tous.

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Le petit mag­a­zine qui ne se laisse pas caress­er dans le sens du poil.