La résis­tance de Gezi a été un creuset pour la créa­tion. D’in­nom­brables affich­es, car­i­ca­tures, chan­sons ont tra­ver­sé les réseaux soci­aux, tout en trans­portant des infos sur des ailes artis­tiques, ou humoristiques.

Pour le gou­verne­ment cette la foule dans la rue n’était que quelques “çapul­cu” (pronon­cez thcapould­jou), ce qui veut dire maraudeurs, van­dales, traine-savates… Vous n’aurez pas de dif­fi­cultés à com­pren­dre tout de suite, car c’est exacte­ment ce qui se passe pour les ZADistes en France, quand les méR­dias les présen­tent comme des ivrognes, drogués, qui vivent dans des déchets.


LISEZ AUSSI : Istan­bul 2013 • La Résis­tance de Gezi


Voilà quelques exem­ples de cette imag­i­na­tion débordante.

Naz Oke on EmailNaz Oke on FacebookNaz Oke on Youtube
Naz Oke
REDACTION | Journaliste 
Chat de gout­tière sans fron­tières. Jour­nal­isme à l’U­ni­ver­sité de Mar­mara. Archi­tec­ture à l’U­ni­ver­sité de Mimar Sinan, Istanbul.